De nombreuses entités ont décidé de faire appel à des détectives pour récupérer les crédits impayés. Il s'agit de banques et de caisses d'épargne réputées qui ont donc décidé de prendre contact avec des détectives privés. En engageant des enquêteurs, les entités facilitent la recherche et la récupération de l'argent impayé, ce qui permet d'éviter les processus judiciaires qui sont souvent longs et très coûteux.
À l'heure actuelle, l'un des objectifs les plus importants des banques et des caisses d'épargne est de mettre fin aux taux extrêmement élevés de mauvais payeurs parmi leurs clients. C'est pourquoi de nombreuses entités ont décidé de faire appel à des détectives et de récupérer, ainsi, les crédits impayés.
Selon un communiqué de l'agence Detectys, plus de 150 000 affaires d'entités financières ont été traitées au cours de l'année 2009, soit le triple que l'année précédente. L'agence affirme également que, durant cette année, le nombre d'affaires n'a pas baissé.
Ce communiqué précise de plus que se sont des banques et des caisses d'épargne réputées qui ont décidé de faire appel à ce type de service.
Les détectives doivent donc faire des rapports de localisation et de solvabilité des débiteurs, qui sont généralement des particuliers ou des petites entreprises. Un autre genre de rapports à faire sont ceux concernant l'usage des biens hypothéqués.
En engageant des enquêteurs, les entités facilitent la recherche et la récupération de l'argent impayé, ce qui permet d'éviter les processus judiciaires qui sont souvent longs et très coûteux.
Cette tâche réalisée par les agences de détectives permet à leurs clients d'avoir les taux d'impayés les plus bas du secteur bancaire. En effet, dans plus de 50% des cas la nouvelle adresse du mauvais payeur est retrouvée.
Une autre conclusion provenant de ce communiqué est que, dans un tiers des cas, les débiteurs ont des entrées d'argent ou des biens qui peuvent être saisis: 37,6% sont propriétaires avec des charges à faveur d'une entité et 13% ne le sont pas. De plus, 20% des clients qui ont des dettes sur des crédits hypothécaires maintiennent leur appartement ou leur maison vide et 20% des clients les louent ou les utilisent comme résidences secondaires.